Les toits plats continuent à gagner en popularité. Cela n’est pas seulement lié à l’architecture contemporaine, mais aussi à toutes sortes d’innovations technologiques. Grâce aux nombreuses améliorations de produit, les toits plats se révèlent actuellement très durables et faciles à entretenir, du moins, s’ils sont posés de façon adéquate. Lors de l’installation, il faut tenir compte de certains critères prépondérants, comme la pente minimale du toit.
Respecter une pente minimale de 2%
Pour éviter les problèmes lié au non écoulement sur une toiture, une pente d’au moins 2% s’avère indispensable. C’est la seule solution pour évacuer l’eau de pluie rapidement. Faute de quoi, des flaques apparaissent, avec les conséquences qui s’ensuivent : le risque de formation de mousse et d’accumulation de la saleté s’accroit, et l’eau stagnante augmente sensiblement la pression sur la toiture. Mais, même sur un toit posé correctement et avec une pente de 2%, des petites flaques peuvent se former. Cependant, pas de panique : celles-ci sèchent naturellement et ne provoquent pas de dégâts.
Qu’en est-il d’une toiture sans pente ?
Dans les nouvelles constructions, les toits plats standards ont une pente minimale de 2%. Mais dans les anciennes maisons, ce n’est pas le cas. En cas de rénovation d'une maison, si la toiture ne présente pas de pente, il ne faut pas désespérer : il est toujours possible de prévoir une pente avec une des couches supérieures (Derbigum ou Vaeplan).
Un entretien adapté, tout aussi important
Pour prévenir les problèmes d’humidité, il n’y a pas que la pente du toit qui joue un rôle. L’entretien représente un autre enjeu de taille. Voici quelques règles d’or simples, mais essentielles :
Pour les personnes qui vivent dans un environnement vert, comme à la lisière d’une forêt, une attention particulière est recommandée en automne. Et celles habitant à proximité d’un champ ont tout intérêt à partir régulièrement à la recherche de pousses indésirables sur leur toit.